Le Frère DEnzo (Partie 1)
Ce soir-là Enzo mannonça que son frère (que je navais jamais rencontré, il vivait en
Italie) venait passer quelques jours chez nous. Ils navaient quun an de différence,
Giovanni était le plus âgé. Il venait de se séparer de sa copine et était un peu
déprimé.
- Je partage absolument tout avec Giovanni, tu sais
- Donc tu vas ME partager avec lui ? Et son ex tu la baisée aussi ?
- Jai pas dit quIL partageait tout avec moi mais que MOI, je partageais tout avec
lui, me répondit-il en me toisant dun regard libidineux.
Je captais dun coup la nuance. Vu que javais signé pour lui obéir en tout, quil
appréciait déjà beaucoup de moffrir à ses collègues ou des inconnus, jallais, bien
sûr, devoir me donner à son frère. Il fallait que je me fasse à lidée.
Le lendemain, Enzo étant au boulot, je devais aller chercher Giovanni à la gare. Enzo
mavait dit :
- Tinquiète pas, tu le reconnaitras tout de suite.
En effet, javais devant moi le sosie dEnzo et pourtant ils nétaient pas jumeaux !
Dans la voiture, jessayais de nous mettre à laise en faisant la conversation. Je
racontais à Giovanni des banalités et menquérais de son voyage. Je fis mine de ne pas
remarquer ses regards appuyés sur mes cuisses ou dans mon décolleté. À notre arrivée,
je le conduisis à sa chambre.
- Voilà ta chambre, il y a des couvertures et des oreillers supplémentaires dans
larmoire. Si besoin tu trouveras des serviettes dans le placard de la salle de bain.
Bon.. ben voilà, je te laisse tinstaller, appelle-moi si tu as besoin de quoi que ce
soit.
- Justement puisque tu en parles, jai bien envie de te baiser.
Je restais bouche-bée, choquée de ses manières cavalières. Il sortit alors son
téléphone de sa poche et fit défiler devant mes yeux des photos : la première était un
portrait de moi, banal.
jétais assise sur une chaise jambes écartées un doigt sur le clitoris et un autre
dans la bouche. La quatrième photo était la pire : Enzo mavait photographiée pendant
que je le suçais. On voyait la bite dEnzo me sortir à demi de la bouche et je le
branlais de la main. Mes yeux étaient levés vers mon amant dans un regard amoureux. Il
a osé partager nos photos intimes avec son frère ! Pensais-je. Jétais fâchée mais
surtout horriblement gênée et honteuse aussi. Je me sentais trahie. En même temps, ça
ne faisait que confirmer quil partageait tout avec Gio, je naurais pas dû être
étonnée.
Je fis la ravissante idiote qui na pas compris et tournais les talons pour sortir. Je
suis la salope dEnzo, pas celle de Gio !
Cest alors que, sans un mot, Gio mempoigna par le bras, et en un instant je me
retrouvais sur le lit à plat ventre, maintenue la tête contre le couvre-lit. Il
souleva ma jupe, tira mon string sur mes cuisses et me fourra dun grand coup sec sa
bite au plus profond de la chatte. Il se mit à me limer en geignant. Jessayais bien
de me débattre mais rien ny fit, il était plus fort que moi. Il me maintenait en
magrippant par les cheveux, javais du mal à respirer, javais le cur qui battait à
tout rompre, jétais littéralement livrée à lui, soumise sous son poids et sa force.
Il me râpait la vulve toute sèche. Mes cris de douleur étaient étouffés par la
couverture. Il ponctuait ses coups de butoirs de « hum et de han » à un rythme
effréné. Le fait que je souffre ajoutait visiblement à son excitation. Au bout de
quelques minutes, malgré moi, je commençais à mouiller sous ses coups de bite. Il
bougeait bien, était bien monté et me donnait beaucoup de sensations.
- Tu mouilles, taime ça putain de salope ! et ça joue les mijaurées ! Elle est bonne
ma bite, hein ?
Oui, Gio tu me fais jouir.
suis quune salope, je devrais avoir honte. Je suis plus salope encore que je croyais.
Pensais-je.
Il se retira de ma chatte au bord de léjaculation et me retournait pour me gicler
dans la bouche. Il me regarda attentivement pendant que javalais son sperme. Cela dû
lui plaire car il recommença presque aussitôt à durcir. Son regard était dur, froid.
Il sallongea en 69 à côté de moi et présentant son gland à mes lèvres, me fit me
placer au-dessus de lui. Mon string était encore à mi-jambe, il finit de me le
retirer.
- Suce-moi !
Je lui avalais la bite toute entière. Elle avait le goût de ma chatte, pas
désagréable. Je le branlais et le suçais de haut en bas en gorge profonde. Je
mappliquais, jaimais sentir que, dune certaine façon, avec ma bouche je dominais
celui qui venait de me baiser sans mon accord.
Pendant ce temps, il me doigtait la chatte, jen tirais beaucoup de plaisir et
mouillais beaucoup. Il me mit ensuite un doigt dans lanus. Je gémis de désir. Voyant
que son doigt entrait facilement, il men mit un puis deux autres quil agita sous mes
gémissements. Je tortillais mon cul pour quil entre plus profondément. Je pris alors
linitiative darrêter la pipe pour venir mempaler moi-même le cul sur son dard
dressé. Je tins dune main la bite bien droite et maccroupissant, je mempalais le
cul dessus. Je faisais jouer les muscles de mon sphincter pour quil ait plus de
sensations et cela le fit immédiatement bander plus dur encore. Jondulais de la
croupe, dos à lui. Je lui donnais ainsi le spectacle de sa bite entre mes fesses
fermes et rebondies, de son dard qui disparaissait à lintérieur de mon petit trou
pour le défoncer. Il prit mes fesses en main pour accompagner mes mouvements davant
en arrière en même temps que de haut en bas.
et même menfoncer trois doigts dans la chatte. Je jouis dans un spasme et des
frissons qui me parcoururent tout le corps. Il gémissait sous mon séant. Cétait moi
qui le dominais à présent. Je sentis alors sa queue tressauter et il me remplit le cul
de sa semence.
Il se releva ensuite dun bond et me jeta au pied du lit.
- Tu peux te tirer maintenant, ptite salope. Son regard, lui, disait « je viens de te
baiser et tas aimé ça comme une salope».
Je me relevais et je sortis de la pièce. Jallais dans la salle de bain de ma chambre
pour me doucher. Je me déshabillais. Je mis les vêtements dans la corbeille. Je me
sentais aussi sale et souillée que mes vêtements. Cétait la première fois quun homme
me forçait. Et jétais encore plus mal dy avoir pris du plaisir. Je choisis
finalement de me faire couler un bain. Jéteignis la lumière de la salle de bain
aveugle et me retrouvais dans le noir total sauf pour une bougie que jallumais au
bord de la baignoire. Je me remémorais ce qui venait de se passer et je me mis à avoir
à nouveau envie. Je me caressais les seins puis le clito mais jen voulais plus alors
jattrapais le vibro canard dans la corbeille et me masturbais doucement la chatte. Je
me mis à jouir bruyamment une première fois. Jétais honteuse de mêtre faite
quasiment violer et pourtant cette honte créait aussi du désir. Jétais perdue dans ce
mélange de sentiments paradoxaux. Les yeux fermés, je me caressais encore avec les
doigts, jambes pliées, cuisses écartées. La mousse du bain me donnait des sensations
sur la vulve. Je menfonçais deux doigts lentement, je voulais sentir le désir au
creux de mon ventre qui se transformait à chaque mouvement en plaisir de plus en plus
intense. Je haletais entre deux petits gémissements. Je retirais les doigts de ma
chatte pour titiller mon clitoris gonflé de désir.
que je sentis quon y pressait un doigt. Jouvrais les yeux, complètement affolée. La
pièce était plongée dans le noir, la bougie avait été soufflée. Je massis prête à
méchapper de la baignoire mais une main se posa sur mon épaule et me caressa le long
du corps, les seins, le ventre, jusquaux cuisses quelle contourna jusquà ma fente.
Il me fit comprendre de me détendre. Je me rallongeais dans le bain. Il avait pris un
gode dans la corbeille, il me le glissa doucement dans la chatte et commença à limer
ma chatte lentement. Mon plaisir montait, ma respiration était saccadée, jondulais et
basculais mon bassin pour sentir le gode au plus profond de mon antre. Mon
tortionnaire ne désirait pas que je jouisse ainsi. Il me retira le vibro en douceur au
bord de lorgasme. Frustration est un mot trop doux pour exprimer ce que je
ressentais.
Il me prit la main pour me faire me lever. Je sortis de la baignoire et il me plaçait
mon peignoir sur les épaules. Jentourais une serviette sur mes cheveux mouillés. Nous
étions toujours dans le noir complet. Je découvrais avec mes mains quil était nu. Je
pris en main son sexe qui était pressé contre ma cuisse et le branlais doucement.
Javais tellement envie, il mavait coupé mon plaisir au bord de lorgasme. Je me
collais à lui et entrouvrais les pans de mon peignoir pour glisser son sexe entre mes
cuisses. Il laissa sa bite frotter contre les lèvres de ma fente mais, à lentrée de
ma vulve, il se retira. Encore une frustration atroce ! Javais tellement mouillé
dexpectation que je sentis la cyprine couler entre mes cuisses
Il sassit en tailleur sur le tapis de bain et me fit asseoir à califourchon sur lui.
Son sexe dressé caressait mon entrejambe. Je retirais mon peignoir complètement. Il
commença par me donner un long baiser profond. Son goût dans ma bouche était divin, sa
langue dansait sur la mienne. Ses mains nétaient pas en reste, il me caressait les
cuisses, les hanches et le dos. Il remontait prendre un sein dans une main et
caressait du pouce mon téton pointé. Je glissais ma main vers son sexe. Il me la
retira immédiatement. Il membrassait toujours mais je tentais :
- Gio, prend-moi
- Ssshhh ! Minterrompit-t-il de sa bouche sur mes lèvres.
Il continua de me caresser, me fit un chapelet de baisers le long du cou et descendis
pour prendre mes tétons en bouche. Il les aspira, les suça et les mordilla très
doucement. La cyprine me coulait de la chatte témoignant de lintensité de mon désir.
Il prit mes mains et les passa autour de son cou. Je maccrochais à lui et mettant ses
mains sous mes fesses il me souleva et je mempalais directement sur sa bite- bien
raide et dure - jusquà la garde. Je connus une jouissance immédiate. Il mempêcha
donduler au rythme rapide que jaurais souhaité. Il me maintenait fermement les
hanches et ne me laissait basculer mon bassin que sur une très faible amplitude ainsi,
son sexe ne senfonçait pas plus que quelques petits centimètres davant en arrière au
fond de mon vagin. Cétait de la pure car même si javais joui quand il
mavait pénétré, javais encore tellement envie !
Ce petit jeu dura pendant un temps infini. Je crois quil resta ainsi à me limer de
quelques centimètres toujours bien bandé en moi pendant au moins une demi-heure. Nous
étions toujours dans le noir complet ce qui ajoutait à mes sensations, me poussait à
développer mes autres sens. Il continuait de me donner de profonds baisers délicieux,
roulant sa langue sur la mienne, me mordillant les lèvres. Jamais je navais été
embrassée comme cela ! Cétait tellement doux et romantique mais en même temps
tellement sensuel. Ses baisers suscitaient en moi la même excitation que lorsque je
suçais une bite. À rester ainsi pendant tellement longtemps au bord de lorgasme sans
jamais latteindre, mon esprit se mit à vagabonder dans des délires sexuels. Je
repensais à des scènes de baise vécues mais je fantasmais aussi sur des situations,
des lieux, des hommes. Mon imagination galopait. Je mimaginais agenouillée au milieu
dune ronde de queues dressées que je branlais, que je léchais, que je suçais tour à
tour. Je me voyais attachée sur un lit, livrée sans défense aux caresses et aux désirs
dinconnus. Je repensais à cet instant divin où Enzo mavait dépucelé lanus pendant
que je me doigtais la chatte. Bref, des sensations et des souvenir intenses
dexcitation et de plaisir. Jétais bouillante physiquement et mentalement.
Ma peau était en alerte. Mon corps était couvert dune brume de sueur dont les gouttes
me ruisselaient dans le creux des seins et entre les reins. Jétais brûlante de désir.
Ma chatte nétait plus quun gouffre humide hypersensible. La moindre oscillation de
la queue de Gio me faisait tressaillir. Il glissa enfin ses mains sous mes fesses et
laissa divaguer un doigt sur ma rondelle. Mon désir devenait . Jeus un orgasme
fabuleux. Il mempoigna alors les deux fesses dans chacune de ses grandes mains et me
força à des va-et-vient violents sur sa bite. Il mempalait jusquà la garde. Je
haletais, éperdue de plaisir. Dans lespace de la dizaine de coups quil lui fallut
pour atteindre lorgasme, je joui au moins deux ou trois fois daffilée à moins que ce
ne fût quun seul orgasme qui montait en puissance par vagues ? Je ne suis pas sûre
mais ce que je sais cest que ce fût la plus grande jouissance sexuelle de ma vie. Il
gicla puissamment, de longues giclées abondantes. Il ne se retira pas tout de suite de
mon con et je sentis sa queue qui débandait en moi jusquà ce quil ne reste plus que
son gland à lentrée de ma vulve. Je restais accrochée à son cou, je lembrassais
encore, je voulais le remercier de cette somme de plaisir quil avait déclenchée dans
mon corps.
Il me repoussa avec douceur me donnant un dernier baiser puis se leva et me laissa
abandonnée, nue et épuisée de plaisir roulée sur le tapis en position ftale.
La suite bientôt !
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